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Le noir, couleur du succès

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Le noir, couleur du succès

C’est une salle copieusement garnie qui a applaudi la troupe des Salinières pour la pièce « Le noir te va si bien » samedi. Le prochain rendez-vous aura lieu le samedi 11 janvier avec « Huit femmes » de Robert Thomas, adaptée au cinéma en 2002 par François Ozon. PHOTO MARTIAL MAURY


Le Noël des Petites Canailles

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Des gourmandises sur tous les stands.

Des gourmandises sur tous les stands. (PH. M.M.)

Vins, foies gras, champagnes, huîtres, chocolats, saucissons d’Auvergne, mais également des tricots, des sacs, des bijoux, de la céramique, des poteries, des tableaux, des compositions florales… Tels sont les principaux exposants qui proposeront leurs produits lors du traditionnel marché de Noël organisé par l’association les Petites Canailles. Il se tiendra le samedi 21 décembre de 14 h 00 à 21 h 00 et se poursuivra le dimanche de 10 h 00 à 18 h 00 à la salle Courade de Saint-Christoly-de-Blaye.

Les enfants ne seront pas oubliés avec des crêpes, de la barbapapa et de la pêche aux canards. Le Père Noël, lui-même, viendra pour se faire photographier avec les enfants. Comme toutes ces réjouissances aiguisent l’appétit, une restauration sur place est prévue. Comme ce sera un jour de chance, une tombola avec un jambon à la clé sera organisée.

Les bordeaux en Blayais

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L’heure du bilan pour le syndicat des vins de bordeaux et bordeaux supérieur qui s’orientent vers les contrats d’assurance.

Les bordeaux en BlayaisLa taille de la vigne par les stagiaires de la maison familliale et rurale de Blaye.© PHOTO 

PHOTO M. M.
 

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ne soixantaine de personnes assistaient jeudi dernier à la réunion de cantons du Syndicat des vins de bordeaux et bordeaux supérieur qui s’est tenue à la salle Courade de Saint-Christoly-de-Blaye. La tenue de cette réunion en territoire de Côtes de Blaye n’avait rien d’incongrue. De plus, explique Florian Reyne, délégué général du Syndicat des bordeaux, « dans les cantons concernés par la réunion, ceux de Saint-Savin, Blaye et Saint-Ciers, des producteurs de rosé, de blanc-sec et de rouge sont en Bordeaux ». L’ordre du jour était chargé. Du point sur la dernière récolte, à la campagne de communication et de sollicitation des parlementaires de vin et société en passant par les possibilités d’assurance, de nombreux points ont été abordés.

Point positif, dans la soirée, le rapport sur les exportations. Ces dernières progressent, notamment en direction de la Chine qui est le premier marché à l’exportation. « Une bouteille sur six produites en bordeaux est exportée, et parmi ces exportations, une sur trois l’est en direction de la Chine», a indiqué Christophe Château, responsable de la communication du CIVB dans son exposé.

Les conditions climatiques

Les autres marchés à l’export sont l’Allemagne, le Royaume-Uni et la Belgique. Mais, le point crucial de l’exposé a été la baisse des récoltes pour 2013 avec des rendements moyens de 35 hectolitres à l’hectare au lieu de 50. « Ce sont les volumes les plus faibles depuis 1991 » a indiqué Hervé Grandeau, président du Syndicat. Principale cause de cet état, les conditions climatiques défavorables connues en 2013.

Pour pallier, ou du moins minimiser les effets de celles-ci Bernard Farges, membre du bureau du Syndicat et président du CIVB a présenté les différents contrats d’assurances multi risques climatiques. « Nous voulons faire en sorte que l’on soit obligé de s’assurer. Nous avons opté pour des offres simples avec 25 % de franchise et une aide de 65 % de l’Europe dans le cadre de la politique agricole commune. Pour lui, la situation actuelle aura des conséquences.

Le nerf de la guerre

« Le Syndicat tire ses revenus des cotisations liées à la production. Mais, grâce à nos anciens nous avons des réserves». Les réserves sont pour lui le nerf de la guerre pour les viticulteurs. « Sur le long terme, je suis optimiste. Les entreprises qui ont des stocks font passer le cap. Elles pourront alimenter la demande en déstockant. Pour celles qui n’ont pas de stocks, ce sera plus dur pour la revalorisation des prix. Mais avant le long terme, il y a le court et le moyen terme… » Il estime que l’avenir de la profession passe par l’exportation « dont le chiffre d’affaires est supérieur aux ventes nationales » mais pour autant, « la commercialisation en France est importante. Il faut se bagarrer là-dessus. »

Un secteur d’exportation

Parmi les dangers qui pour lui menacent la profession, il pointe « la hausse de la fiscalité. Il y a en 2013 des mesures de fiscalité comportementales. L’alcool génère des coûts, alors on fait payer ceux qui achètent de l’alcool.

Nous représentons aussi le deuxième secteur d’exportation en valeur en France après l’aéronautique ». S’il ne nie pas les problèmes d’alcoolisme « une maladie » il trouve certains discours outranciers.

« Dire que le premier verre de vin augmente les risques de cancer n’est pas acceptable. Il faut accepter une consommation modérée et conviviale. »

Martial Maury

Les chevaux au travail

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Les chevaux au travailTrait 33, une association d’éleveurs et d’amoureux des chevaux de trait.© PHOTO 

PHOTO OCTAVIEN MAURY

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� Chaque fois qu’il y a besoin, on vient. L’an dernier, on a fait un débardage, l’année prochaine, on aimerait en faire deux. C’est de la détente, du loisir, c’est bon enfant. » Eric Seuve est le président de l’association Trait 33, association d’éleveurs, mais surtout d’amoureux des chevaux de trait. Avec des adhérents et une douzaine de bêtes, ils sont venus débarder du bois chez un des membres de Saint-Christoly, Franck Roquillas. « 90 % des gens de l’association sont des utilisateurs occasionnels de chevaux de trait, et 10 % des professionnels, qui font des débardages et des labours », indique Eric Seuve. Selon lui, cette activité reste marginale, « ça se développe, mais à petite échelle. Le cheval a des avantages selon les terrains, il ne fait pas de tassement. Sur des zones spécifiques, humides, en pente, dangereuse, il est irremplaçable. » Son association entend aussi « perpétuer des méthodes traditionnelles ».

La journée de débardage a attiré d’autres amoureux des chevaux comme Thibault Verschelden. Photographe amateur, il est venu avec ses appareils saisir des images de ces princes des labours. « J’ai une passion pour les chevaux de trait. Ce sont des masses, une puissance, un caractère. Le cheval de trait est à sang-froid, il est calme, attentif, obéissant ». Il a pour objectif de créer un site Internet consacré à l’animal. Pour Eric Seuve, la Haute Gironde est quasiment un eldorado du cheval de trait en Gironde. « L’essentiel des chevaux du département se trouve ici. Sur neuf races, nous en avons 8 de représentées. » Et, paradoxalement, pour lui, « ce qui sauve le cheval de trait, c’est qu’on le mange. Un éleveur doit pouvoir en vivre, c’est comme pour les vaches ».

Martial Maury

Trait 33 : https ://sites.google.com/site/trait33/accueil 1 lieu-dit Les Petites Mottes, 33390 Cartelègue. Tél : 06 73 71 89 24.

De belles rencontres autour du pot

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De belles rencontres autour du potTêtes chenues et jeunes enfants ont travaillé main dans la main.© PHOTO 

PHOTO MARTIAL MAURY

� C’est très sympathique, facile et à la portée de tous. C’est très agréable d’être avec des enfants. Ils sont gentils comme tout, on passe une excellente après-midi ». Annie, sémillante et élégante nonagénaire est positivement ravie de sa journée. Avec d’autres personnes résidentes à l’EHPAD du Mont des Landes de Saint-Savin, elle est venue s’initier à la poterie en compagnie d’enfants, à la salle Courade de Saint-Christoly, ce mercredi 18 décembre.

Habituellement, ce sont les enfants qui viennent pétrir la terre sous la houlette de la potière Marie Cathala dans le cadre des ateliers préparés par l’association les Petites Canailles. Mais aujourd’hui, en plus des habituelles têtes blondes, Marie s’occupe également des têtes plus chenues. Tout cela à l’initiative de jeunes entre 18 et 20 ans de la Maison familiale et rurale (MFR) de Blaye.

Territoire

Dans le cadre de leur formation, elles doivent réaliser une rencontre intergénérationnelle. Un choix réfléchi de la part de la MFR comme l’expliquent Catherine Maran et Salim Ahmed, formateurs encadrant les groupes. « Il s’agit de créer des liens avec le territoire, de renforcer ceux que nous avons avec les structures liées à la petite enfance ou au personnes âgées. Nous avons réparti nos 90 élèves en 14 groupes qui organisent chacun une rencontre autour d’une activité manuelle par exemple. »

Mais, si trouver une association s’occupant des enfants fut aisé -« j’ai tout de suite accepté», explique Valérie Berlemont présidente des Petites canailles-, faire participer une structure hébergeant des personnes âgées a été compliqué. « On a du mal à trouver, explique Luna Pautier, étudiante à la MFR, beaucoup trouvaient que les activités proposées n’étaient pas adaptées. » Pour Magalie Drulhes, animatrice à l’EPHAD de Saint-Savin, l’activité n’est pas l’argument principal. « Il s’agit aussi d’amener l’extérieur à l’intérieur, de démontrer que l’on n’est pas cloisonné. » L’aspect intergénérationnel s’est concrètement traduit lors de la fabrication des objets comme l’explique Marie Cathala qui s’est adaptée à son public. « J’ai pris une méthode spécifique pour leur apprendre. C’est l’enfant qui commence le travail et la personne âgée qui le termine ». Prochain rendez-vous le 22 janvier pour la décoration des objets réalisés.

Martial Maury

Pianistes et clarinettistes ont donné le meilleur

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Pianistes et clarinettistes ont donné le meilleurUn orchestre qui a du souffle© PHOTO 

. PHOTO M. M.

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es parents dodelinent la tête en rythme tout en chantant silencieusement la mélodie, avec dans les yeux, une lueur mêlant fierté, tendresse et un soupçon d'ébahissement d'avoir engendré de tels artistes. D'autres, plus technophiles, dégainent leur appareil photo ou leur smartphone et mitraillent et enregistrent les prestations des artistes.

Mercredi soir dernier, les élèves, jeunes et adultes, des sections de clarinette, piano et de la classe d'éveil de l'École de musique des Hauts de Gironde présentaient leur concert de Noël, cela après les cuivres lundi et avant les guitaristes et bassistes, vendredi.

Au programme, « Au clair de la lune » par Lucille, petit bout de chou de 5 ans, et bien d'autres morceaux interprétés par des élèves qui, pour certains, n'ont débuté leur apprentissage qu'au mois de septembre de cette année. Les enfants de la classe d'éveil ont chanté et dansé sur des chansons comme « Jean petit qui danse » ou « Un grand cerf ». Le tout s'est terminé devant un buffet de chocolats et friandises.

Martial Maury

La pédagogie du spectacle

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La pédagogie du spectacleLe Théâtre épicé.© PHOTO 

PH. MARTIAL MAURY

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eudi dernier, les enfants des écoles maternelles et primaires de Saint-Christoly, Générac et Saugon ont pu assister à la salle Vox à un spectacle de Noël offert par les municipalités : « Le roi aux oreilles de cheval », par la Compagnie du Théâtre épicé. Il va sans dire que les élèves ont forcément été sages ce début d'année et ont donc bien mérité ce cadeau, le spectacle aura des suites pédagogiques… comme l'explique Murielle Fraigneau, maîtresse des moyennes sections de Saint-Christoly.

« Cela servira à la séance de langage avec les petits-moyens. On parlera de choses qu'ils ont en commun. L'aspect ‘‘ vivre ensemble'' est également important. Se déplacer pour venir au Vox, leur apprendre à marcher dans la rue en respectant le code de la route. Venir au théâtre leur apprend à bien se tenir, ne pas faire de bruits, etc... » Les enfants prolongeront également le spectacle d'une manière artistique, puisqu'ils réaliseront des dessins sur la pièce. Et, si par hasard, quelques détails leur avaient échappé, ils pourront la revoir le 4 janvier au Vox pour la grande première en public.

M. M.

Rock’n’roll à l’école de musique

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Rock’n’roll à l’école de musiqueLe concert des guitaristes et des bassistes, vendredi, a été fort apprécié du public.© PHOTO 

PHOTO M. M.

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i le concert des pianistes et clarinettistes de l'école de musique des Hauts-de-Gironde, mercredi 18 décembre, avait une tonalité plutôt classique quant aux morceaux joués, celui des guitaristes et bassistes du vendredi suivant, qui a eu lieu lui aussi à l'Accueil de loisirs sans hébergement (ALSH) de Saint-Christoly, était plutôt rock'n'roll.

Manu Chao et Daft Punk

Certes, les débutants à la guitare ont sacrifié à la tradition en interprétant « Douce Nuit », mais, prenant la suite, les bassistes ont enflammé l'assistance avec « I love rock'n'roll » de Joan Jett, puis avec une incursion dans les rythmes latinos avec « Minha Galera » de Manu Chao. Enfin, pour terminer, ils ont interprété le plus récent « Get lucky » des Daft Punk.

En seconde partie, bassistes et guitaristes ont eux aussi revisité le répertoire de Manu Chao, avec « El Sur » avant de terminer le spectacle avec une décoiffante reprise d'un tube des années 1970, « Wishing well » de Free. Le public a battu la mesure tout au long des morceaux, les enfants ont dansé, bref, ce dernier concert, comme ceux qui l'ont précédé, a été fort apprécié.

Martial Maury


Le marché a pris de l’ampleur

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Le marché a pris de l’ampleur

 

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ette année, et pour la première fois, le marché de Noël de l'association Les Petites Canailles se tenait sur deux jours, le samedi 21 et dimanche 22 décembre. Pendant ces deux jours, artisans de bouche et d'art ont investi la salle Courade et un barnum installé à l'extérieur. PHOTO M. M.

Père et Mère Noël tiennent boutique

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Père et Mère Noël tiennent boutiqueMardi, l’homme à la barbe blanche a eu de l’aide pour distribuer ses cadeaux.© PHOTO 

PHOTO M. M.

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ien ne vaut le travail en famille. C'est pourquoi le Père Noël est venu en couple, mardi, au bureau de tabac du bourg de Saint-Christoly-de-Blaye. Mais le Père Noël faisait là une entorse à son travail habituel : ce n'est certes pas aux petits enfants qu'il distribuait ses cadeaux ce jour-là, mais aux adultes, au côté d'une charmante Mère Noël.

Martial Maury

« Nous avons des projets à poursuivre »

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« Nous avons des projets à poursuivre »Franck Roquillas, Irène Fiorazzo, Manuel Ruffino et Diane Maury s’inscrivent résolument dans la continuité de l’actuelle majorité municipale.© PHOTO 

PHOTO M. M.

� Nous avons des choses à continuer et, pour nous, les deux listes qui se présentent sont une opposition à l'ancien Conseil municipal. » Manuel Ruffino place clairement la liste, qu'il a décidée de conduire avec la première adjointe sortante Irène Fiorazzo aux élections de mars, sous le signe de la continuité. Deux autres conseillers municipaux les suivent dans cette démarche : Diane Maury et Franck Roquillas, ancien quatrième adjoint.

D'autres conseillers actuellement élus les soutiennent sans se représenter, comme Raymond Bernon (deuxième adjoint), Jean Strohecker, James Gaury, André Rambert et l'actuel maire Bernard Péraldi (lire ci-contre).

« On a des choses à poursuivre, des projets que nous avons initiés sont sur le point d'aboutir, explique Manuel Ruffino, comme le “village santé”, l'appellation que nous donnons au bâtiment que nous devons bâtir pour les professionnels de santé. Le permis de construire ne devrait pas tarder à être déposé. L'hôtel d'entreprises, dans les anciens bâtiments Derouineau est un projet de la Communauté de communes auquel nous participons. »

Maîtriser l'urbanisme

L'équipe entend également « maîtriser l'urbanisme communal. Nous ne devons pas devenir une ville-dortoir », reprend Manuel Ruffino.

« Des choix devront être faits pour une bonne maîtrise du budget, commente Irène Fiorazzo. On ne peut pas tout faire si on ne veut pas faire exploser les impôts, d'autant plus que de nouvelles mesures viendront alourdir le budget, comme la mise aux normes pour handicapés et la réforme des rythmes scolaires. »

Ces candidats souhaitent aussi poursuivre le travail engagé au niveau des associations et des actions vers la jeunesse. « Beaucoup de membres de notre équipe sont issus du monde associatif, poursuit Manuel Ruffino. Nous allons pérenniser le Conseil municipal jeunes que nous avons créé et la remise des dictionnaires aux enfants entrant en sixième, initiative dont nous sommes à l'origine. »

Commerce local

La revalorisation du commerce local fait aussi partie de leurs objectifs. « La revitalisation du commerce est l'affaire de tous. Cela passe par faire ses courses auprès des commerçants du village et ceux du marché dominical ».

Manuel Ruffino et Irène Fiorazzo se disent ouverts aux bonnes volontés pour finir de constituer leur liste. « Les personnes intéressées peuvent nous contacter », insistent-ils.

Martial Maury

Les vœux de la mairie bientôt

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Les vœux de la mairie bientôt

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L

e maire et le Conseil municipal invitent les administrés de Saint-Vivien-de-Blaye, à venir partager la galette et le verre de l'amitié le samedi 18 janvier prochain à 16 h 30 à la salle des fêtes. ARCHIVES MARTIAL MAURY

Toute la sainte famille réunie au Vox

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Toute la sainte famille réunie au VoxGérard et Eliette Pesquier au milieu de leurs enfants et petits-enfants.© PHOTO 

PHOTO M. M.
 

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liette et Gérard Pesquier, ont engendré 9 enfants, en 8 ans ! Muriel en 1956, les jumelles Myriam et Claudine en 1957, Jean-Noël en 1958, né le jour de Noël. « Je partais à Saint-Christoly, assise derrière la mobylette quand j'ai senti que je devais rentrer à la maison pour accoucher », se souvient Eliette.

Puis, 1 960 a vu la naissance de Brigitte, 1 961 celle de Sylvie, 1963, Alain, 1 964 Véronique et pour « conclure » en 1966, Pascal. Voilà donc 9 enfants, 21 petits enfants (11 garçons et 10 filles) et 16 arrières petits enfants. Ce que l'on peut raisonnablement qualifier de « belle famille ».

Tradition

Ce dont conviennent volontiers Eliette et Gérard Pesquier. « On n'a pas à se plaindre, ils sont adorables, mais c'est un peu compliqué quand on veut faire la fête », expliquent-ils. Mais se retrouver est une tradition familiale solidement établie chez les Pesquier. Ainsi, Eliette prépare tous les dimanches un gâteau, « le gâteau du dimanche ». « Ils savent qu'il est fait et qu'ils peuvent venir le partager ».

Leurs petits-enfants, trouvent que « leurs grands parents sont top ! », même s'ils regrettent de ne pas passer suffisamment les voir. Alors, ce dimanche 29 décembre, jour de la « Sainte Famille » selon le calendrier catholique, à l'initiative d'Émilie, une de leur petite fille, ils se sont tous réunis dans le foyer de la salle Vox de Saint-christoly.

Retraite

Juline, née en décembre 2013 est la benjamine de la troupe de 65 personnes réunies autour d'un couple qui s'est marié le 9 juin 1956. Eliette est née à Saint-Savin et Gérard à Saint-Christophe-de-Bardes. « Je suis revenu ici à 14 ans pour faire mon apprentissage en mécanique chez M. Rivière à Saint-Christoly. » Puis, les aléas de la vie ont fait qu'il est devenu maçon dans l'entreprise Degail. « J'y suis resté pendant 21 ans ».

Cela, avant de se recycler et de travailler en tant que réparateur électroménager aux établissements Derouineau d'où il prendra sa retraite à la fermeture du magasin.

Quant à Eliette, après avoir travaillé chez un pharmacien de Saint-Savin, elle a été mère au foyer… et décorée du Prix Cognac qui récompensait les familles nombreuses méritantes en 1968.

Quand ils se sont séduits lors d'un bal à Saint-Savin, et qu'Eliette a été impressionnée par « la mobylette » de Gérard (« moi j'étais fille unique et protégée par mes parents »), se doutaient-ils qu'ils auraient une aussi belle famille ? Peut-être ? Car comme le confie Gérard « on devait se marier, la vie c'est comme ça ».

Martial Maury

Une retraite harmonieuse

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Raymonde Laccaussague s’est mise à la musique pour sa retraite. Et pour le plaisir.

Une retraite harmonieuseRaymonde Laccaussague s’exerce tous les jours à la flûte traversière, son instrument.© PHOTO 

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our une vie harmonieuse, lorsque l'âge de la retraite a sonné, Raymonde Laccaussague a choisi la musique. Et tant qu'à faire au sein de l'Harmonie de Hauts de Gironde. À raison de 4 à 5 concerts par an, elle interprète du classique comme de la variété ou des musiques de film. En ce moment, elle prépare avec l'Harmonie, le traditionnel concert Du lac des Moulins de juillet prochain. Mais cette passion n'a pas été soudaine. « J'avais envie de faire de la musique depuis mon enfance, raconte-t-elle. Mais mes parents ne pouvaient pas le financer. Après il y a eu la vie, les enfants, je me suis dit, à la retraite, je m'y mets. » Et Raymonde est une femme de parole. En 2008, une fois à la retraite, la vendange rentrée, elle s'est lancée pour réaliser son rêve : faire de la musique.

Emploi du temps

Raymonde et Jean, son mari, sont originaires de Saint-Christoly. Elle a repris la propriété viticole familiale tandis que son mari après avoir été salarié devenait artisan en peinture en bâtiments. Une vie plus que bien remplie que deux enfants, une fille et un garçon sont venus enrichir. Malgré un emploi du temps chargé, entre les travaux de la vigne, la maison, les enfants, Raymonde continuait à penser à la musique. Elle a peut-être inoculé cette passion à sa fille, Nathalie qui joue de la clarinette.

« Elle prenait des cours à Saint-Girons, chez le père Renaud qui était aussi menuisier. Elle a joué aussi à l'Harmonie », raconte Raymonde, une préfiguration du parcours de sa mère quelques années plus tard. « En septembre 2009, je me suis inscrite à l'école de musique des Hauts de Gironde. Joël Valleau, le directeur de l'époque, m'a dit qu'il n'y avait pas d'âge pour apprendre, mais je crois qu'il n'y croyait pas trop ».

Elle commence par suivre uniquement les cours de solfège. « Je voulais savoir où j'allais ». Pour elle, la matière se révèle tout sauf fastidieuse. « Au contraire, c'est plaisant à apprendre ». Une bonne élève comme le raconte son professeur de l'époque. « C'était une super élève. Elle travaillait tous les jours. Pour moi, elle était comme les autres, je ne faisais pas de différence par rapport à son âge ».

En avril, prenant conseil auprès de son mentor, Raymonde choisit la flûte traversière, un instrument « ni lourd, ni encombrant. » Les débuts ont été compliqués. « Ça n'a pas été facile, la position de la flûte sur les lèvres, c'est délicat. Après ça vient, mais au départ c'est dur. » Raymonde ne se décourage pas et travaille. « Je fais en moyenne une demi-heure de pratique par jour », explique-t-elle. Et le travail paie, car en 2011, elle reçoit un petit mot d'Emmanuel Thierry, actuel directeur de l'école de musique et chef de l'Harmonie des Hauts de Gironde.

« Il m'a envoyé un papier me disant, tu viens tel jour, telle heure pour répéter avec nous ». « J'ai été surprise, admet Raymonde. Je me suis dit, je ne sais pas ce que je vais faire là-dedans. » Les premières répétitions ont été « difficiles ». Son emploi du temps, s'est alourdi. « Le mercredi, j'ai une heure de solfège, le jeudi une demi-heure de flûte avec le professeur et le vendredi soir, deux heures de répétitions avec l'Harmonie ». A cela s'ajoute, le jardinage, le poste de secrétaire au bureau de l'école de musique et… aux beaux jours, des sorties en vélo avec son mari, qui la soutient totalement dans la réalisation de son rêve.

Seule Mirka, leur chienne émet quelques bémols lorsque sa maîtresse répète. « Elle n'apprécie pas les notes aiguës, sourit Raymonde ». Mais, les goûts de Mirka ne la feront pas changer d'avis, « Quand je joue, je me sens bien, alors tant que mes doigts suivront, je continuerai. »

Martial Maury

Une troisième liste

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Une troisième listeChristian Coustal et Emmanuel Moulin veulent placer le développement économique au centre de leur programme.© PHOTO 

PHOTO NATHALIE DURANTEAU

� S'unir pour agir », tel est le slogan de campagne de la liste (sans étiquette) menée par Emmanuel Moulin et Christian Coustal pour les prochaines élections municipales.

Les deux hommes ont été élus avec l'équipe actuellement en place autour du maire Bernard Peraldi (sans étiquette), qui n'est pas candidat à sa succession. Christian Coustal en est à son second mandat de conseiller et Emmanuel Moulin à son premier. Ils s'appuient d'ailleurs sur leur expérience pour justifier leur démarche.

« Nous présentons notre candidature, au regard de notre expérience et de nos compétences acquises. Cette connaissance est essentielle pour défendre efficacement dans plusieurs domaines l'intérêt de la commune et de ses habitants, notamment au niveau du SCOT. » Ils réfutent l'idée qu'ils soient une liste d'opposition. « Nous nous plaçons dans la continuité de notre action d'élus. » Ils disent avoir été disposés à travailler avec d'autres conseillers. « Nous avons indiqué que nous montions une liste. Nous avons proposé à au moins une personne des deux autres listes de nous rejoindre. »

Économie, sécurité…

Deux listes se sont en effet déclarées à ce jour : celle de Murielle Picq (3e adjointe) et celle formée par Manuel Ruffino (conseiller municipal) et Irène Fiorazzo (1re adjointe).

Le duo pour sa part entend définir son programme autour de trois axes. Le premier est le développement économique. « L'Espace de santé (le bâtiment devant être bâti sur le stade pour accueillir les professionnels de santé) est en cours de finalisation et nous l'achèverons. Pour l'hôtel d'entreprises prévu par la Cdc, nous avons fait voter une délibération pour préempter le bâtiment situé avenue Paul Arnaudin pour l'installer.

« Nous serons très opportunistes autour de ces deux initiatives. Cet essor économique sera l'élément déclencheur pour qu'une banque installe un distributeur de billets sur la commune. » Autre thème de leur programme, la sécurité. « Cela peut-être des caméras de surveillance, tout ce qui sera de nature à assurer la tranquillité. Il faut faire de la prévention, de la persuasion plutôt que de la répression ». Dernier point, l'animation. « Faire en sorte que les gens soient bien à Saint-Christoly. »

Pour cela ils envisagent « la relance d'un Comité des fêtes intergénérationnel. Cela peut-être viable. » Autre proposition, « ouvrir les commissions municipales aux volontaires. Si des gens ne sont pas élus mais veulent s'impliquer, nous ouvrirons les commissions. Il n'est pas aberrant qu'il y ait un commerçant à la commission marché. » Leur liste a créé un site Internet pour présenter son action (1).

Martial Maury

(1) www.emmanuel-moulin-saint -christoly.fr/


Énergies mobilisées pour l’avenir du Pays

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Énergies mobilisées pour l’avenir du PaysAlain Renard, Bernard Péraldi et Philippe Plisson.© PHOTO 

PHOTO MARTIAL MAURY

� Pace e salute » (« paix et santé »), c'est par ces mots, tirés des vœux traditionnels corses, île « chère à (s) on cœur » que Bernard Péraldi président de la Cdc de Saint-Savin a clôturé son discours des vœux ce jeudi 9 janvier. Une pointe d'émotion perlait dans sa voix et sur son visage car, ces vœux sont ses derniers en tant que président : il ne se représente pas aux prochaines élection municipales à Saint-Christoly-de-Blaye, commune dont il est le maire.

Durant ce discours, il a tiré le bilan de sa mandature où l'intercommunalité, selon lui, « devient un interlocuteur privilégié. » Il a entrepris de lister tous les domaines où l'intercommunalité a une action. « Dans le domaine de l'enfance etd e la jeunesse, nous avons construit une offre cohérente dans ce domaine. »

Pour le tourisme, il a mis en exergue « la mise en place de nouveaux outils pour faire la promotion des richesses de notre territoire », reconnu, notamment par « des revues de camping-caristes. »

Mobilisation des énergies

Pour la culture, il a mis l'accent sur « la programmation d'actions culturelles tout au long de l'année. Nous avons fait un effort vis à vis des associations en multipliant par 5 notre investissement avec 150 000 € qui leur sont dédiés. » L'action sociale a elle aussi été à l'honneur. « La voie communautaire a été choisie à la demande d'élus. »

Si pour lui, « la commune reste l'acteur social de proximité », il estime que la Cdc a un rôle de coordination des actions notamment pour « la Banque alimentaire ». Il a annoncé pour le printemps, la création d'un service de portage de repas à domicile. Quant au développement économique c'est « le rôle de base de la Cdc ».

Selon lui, la mission est bien remplie avec notamment « la fin de la commercialisation des terrains de la zone de Saint-Mariens ». Zone qui doit s'étendre car « idéalement placée » près de la RN 10. L'aménagement du territoire, des gares du canton, le développement du parc éolien ont aussi été cité, avant qu'il ne remercie le personnel de la Cdc et ses collègues pour le travail effectué en 6 ans. Le conseiller général (PS) du canton, Alain Renard qui lui a succédé au micro a salué « le déploiement d'énergie déployé pour faire avancer les projets ».

Prenant acte que « les césures entre territoires urbains et ruraux disparaissent », il a salué le fait que la Cdc, après 14 ans « réfléchisse sur son positionnement pour l ‘avenir ». Il a lancé un appel à une mobilisation des énergies : « La démocratie passe par l'investissement de chacun et ce sont tous les atomes qui font la qualité de la matière que l'on forme ».

Le député Philippe Plisson qui a clôturé les discours s'est lui tout d'abord lancé sur plaidoyer sur les Cdc, -les collectivités de demain -dont les président seront pour lui un jour « élus au suffrage universel direct ».

Il a également plaidé pour des Cdc d'une taille conséquente avec la création de « pôles ruraux d'équilibre du territoire ». Cela avant de saluer l'action de Bernard Péraldi. « On n'a pas les mêmes idées politiques, mais j'ai eu plaisir à travailler avec toi ».

Martial Maury

Pour une eau plus propre

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Pour une eau plus proprePeter Pinheiro, Kévin Mazeau et Jean-Paul Labeyrie, maire de Laruscade.© PHOTO 

PHOTO MARTIAL MAURY
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e lundi 20 janvier, Kévin Mazeau de la société Aqualis et Peter Pinheiro du SPANC (Service public d'Assainissement non collectif) entameront une campagne de vérification des installations de ce type sur la commune de Laruscade. Cette procédure fait partie des obligations voulues par la loi sur l'eau de 1992, elle est donc obligatoire. Payante (100 €) pour l'usager, son coût est lissé sur les 12 factures d'eau qu'il recevra sur la période de 6 ans couvrant l'intervalle entre les contrôles.

Courrier

Avant Laruscade, Kévin Mazeau avait procédé à la vérification des installations situées sur la commune de Saint-Mariens. Et, sur les 362 contrôles effectués, 60 % des installations visitées sont complètes, c'est-à-dire avec un prétraitement et un traitement ; 29 % ont des travaux à effectuer en cas de vente du domicile ; 30 % des obligations des travaux sous 4 ans et 5 % sont à réhabiliter dans les plus brefs délais. Sur Saint-Yzan, où 54 installations étaient à contrôler sur la même période, 95 % de celles-ci étaient « très correctes », selon Peter Pinheiro chargé de les effectuer. La procédure de contrôle est simple. Un courrier avec une proposition de rendez-vous (jour donné, matin ou après midi) est envoyé à l'usager. En cas d'empêchement à la date prévue, celui-ci pourra contacter Kévin Mazeau pour convenir d'un autre rendez-vous, car l'usager doit être présent lors du contrôle. « L'opération en elle-même dure entre 30 et 45 minutes, indique le technicien, selon l'accessibilité. Je demande d'ailleurs à ce que les ouvrages soient dégagés au préalable. » Pour Jean-Louis Veuille, vice président de la Cdc, les enjeux sont importants. « Il faut se mettre en conformité. Il peut y avoir des risques avérés de pollution. Des risques de santé publique, des problèmes de voisinage ».

En 2015, les contrôles s'effectueront sur les communes de Civrac-de-Blaye et Saint-Savin, puis Saint-Christoly, Saint-Girons, Donnezac et Saugon.

M. M.

Un coup d’arrêt pour les chauffards

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Un coup d’arrêt pour les chauffardsLe maire Éric Page a justifié l’installation de panneaux stop dans sa commune en 2013.© PHOTO 

PHOTO M. M.
V

endredi 10 janvier, Éric Page, maire de Saint-Girons, a présenté ses vœux à la population, entouré de son Conseil municipal.

Durant cette traditionnelle cérémonie, il a présenté le bilan des actions effectuées dans le cadre d'un budget 2013, « fait de choix et de priorités », a-t-il affirmé. Parmi celles-ci, l'achatdes chapiteaux, d'un tracteur et d'un souffleur de feuilles. Les toits des écoles, du logement de l'école et de la mairie ont été refaits. Des travaux ont été faits au parking du cimetière et les fossés récurés.

Des choix difficiles

« Il y a des choix difficiles, l'installation de panneaux stop était la seule solution pour faire ralentir les gens. Un stop, c'est fait pour s'arrêter », a-t-il insisté. Une dizaine de ces panneaux ont donc été disséminés aux endroits les plus accidentogènes, de même qu'un panneau d'interdiction de circulation aux véhicules de plus de 7,5 tonnes. « D'autres travaux sont encore à faire, a-t-il poursuivi. Il faut remettre en état le logement de l'école afin de le louer, le portail du cimetière est à surélever et ce sera aussi la fin du document d'urbanisme. Il reste 10 jours d'enquêtes publiques. » Quant à 2014, Éric Page n'a pas souhaité s'exprimer sur le futur budget. « Il y a des élections, il y aura des élus qui auront à mettre en place la réforme des rythmes scolaires. Ce sera lourd, ça ne va pas être simple. »

Pensée pour l'ancien maire

Il a conclu son allocution en remerciant le personnel, les élus, les associations, « dont les manifestations se sont bien passées ». Il a également eu une pensée pour le précédent maire Yves Meynard, décédé voici un an quasiment jour pour jour. Les vœux se sont conclus par une dégustation de vins des propriétaires locaux.

Martial Maury

Lydie Dumas présente sa liste

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Lydie Dumas présente sa listeLydie Dumas et les membres de sa liste (manquent Fabien Duret et Frédéric Normand).© PHOTO 

PHOTO M. M.

� l'issue des prochaines municipales à Saugon, le nouveau Conseil sera profondément renouvelé. Sur les 11 conseillers sortants, seuls trois se représentent. Parmi ceux-ci, Lydie Dumas mène une liste avec Dominique Peynaud, lui aussi conseiller.

Native de Saugon, âgée de 42 ans, mariée, 3 enfants, elle se présente en tant que tête de liste. Déléguée de Saugon auprès du Pays de Haute Gironde, elle a travaillé au Guide des producteurs locaux que le Pays a édité. « J'avais vu un guide semblable en Saintonge et j'étais frustrée d'habiter Saugon et de ne pas pouvoir manger local ». Le Scot, (Schéma de cohérence territoriale) est pour elle un enjeu important.

« On ne doit pas devenir une zone dortoir pour Bordeaux. Il faut créer une dynamique sur la commune, sur le Pays. » Pour cela, elle a constitué une liste aux profils variés. Dominique Peynaud, conseiller sortant et viticulteur, entend « s'occuper de la commune pour que ce soit correctement géré. » Katia Cadusseau, 41 ans a toujours vécu ici. Elle travaille dans la restauration rapide. Elle trouve le fait de se présenter « intéressant, il faut apprendre ». Christian Lamaud, 50 ans, est lui aussi originaire de Saugon : « Mon grand père paternel était photographe ici ». Pour lui, c'est le moment de se lancer. « Je suis arrivé à une certaine maturité, pourquoi ne pas participer, j'ai quelques débuts d'idées ».

Benjamine

Bernard Legrand, 59 ans est préretraité dans le secteur de l'imprimerie. « Je vais avoir plus de temps pour m'investir, et je vais m'investir au maximum », promet-il. Quant à Jérôme Monestier, 42 ans, architecte, est nouveau venu à Saugon. Il s'est installé ici parce qu'il en avait « assez de la ville. »

Il se présente par « intérêt pour l'urbanisme, pour la gestion d'une mairie. » Nathalie Coujaud, 35 ans, est la benjamine de la liste. Ambulancière, elle habite le village depuis 9 ans. Son intérêt la porte surtout vers « l'école, j'ai deux enfants scolarisés, et la culture. »

Fabien Brunet, est arrivé sur le secteur en 2003. Il travaille à la centrale de Braud-et-Saint-Louis. Il s'intéresse plus particulièrement à la défense conte les incendies (DFCI), ce qui, dans une commune qui possède 48 km de pistes, représente un poste important comme le fait remarquer Lydie Dumas. L'équipe entend « sauvegarder et développer l'économie et le tourisme. On a une jolie histoire et un Comité des fêtes qui la met en valeur. Il faut soutenir les gens qui s'investissent pour la commune ».

Martial Maury

Mannequins d’un soir

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Mannequins d’un soirQuelques adhérentes du Club Gym et forme.© PHOTO 

PHOTO CATHERINE CALAVIA
A

l'occasion de l'élection de Miss Haute Gironde le samedi 25 janvier prochain à Saint-Martin-Lacaussade, un défilé de mode est organisé par les magasins Christoliens « Myosotis » et « Just pour lui ».

Pour ce faire, une dizaine d'adhérentes du Club local Gym et forme seront les mannequins d'un soir dans une ambiance festive, de joie et de bonne humeur comme elles l'ont déjà fait à cinq reprises lors de divers événements.

Des tenues de la dernière collection seront mises à leur disposition pour cette manifestation haute en couleur, par Arielle la responsable des magasins.

Martial Maury

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